Mes 3 plus grandes réussites et mes 3 plus grands échecs

Mes 3 plus grandes réussites

Réussite n°1:

Lorsque j’ai effectué mon service civique, j’ai participé à un concours qui s’appelait et qui s’appel toujours encore « Challenge ton projet ». 

Le but de ce concours: pitcher notre projet en 2 minutes pour gagner en visibilité et avoir des conseils de professionnels pour booster le projet en question sous l’oeil d’un jury et d’un public.

À la fin des passages, le jury s’était réuni pour faire un podium des 3 meilleurs pitchs de la soirée (un podium pour l’honneur, sans prix ou récompense)

Il s’est avéré que le jury a décidé de m’attribuer la 1ère place. Évidemment sur le coup j’ai été vraiment surpris de cette décision. 

Ce fut pour moi une fierté, car je suis quelqu’un de très timide et parler devant un public et impacter rapidement ce public ne fut pas la chose la plus simple à réaliser pour moi. Avoir réussi à faire cela et être sorti de ma zone de confort représente une énorme satisfaction pour moi.

 

Réussite n°2:

Avoir pu générer de l’argent autrement qu’avec un simple échange temps/argent.

Avant mon entrée à l’EM, je pensais que la seule possibilité de gagner de l’argent, était d’échanger son temps contre celui-ci. Or, je me suis trompé. En effet, j’ai découvert d’autres possibilités d’avoir des revenus via l’entrepreneuriat, que cela soit la création d’un parc motocross, la création d’un livret sur des energizers, la création de soirée, …, que cela ait généré 30€ ou 10000€ de C.A., j’ai réussi à créer de l’argent à partir de produit ou de mon inspiration.

Ce fut pour moi une grande source d’inspiration et une grande fierté. Cela m’a appris à être plus agile, plus créatif, plus indépendant et à m’ouvrir un nouveau champ de possibilités.

Réussite n°3:

À ne pas vivre dans le regret.

Certes il est toujours plus facile après coup de se dire que « j’aurais dû faire ça, j’aurais dû utiliser telle ou telle stratégie »… . 

J’ai fait souvent cet exercice de regarder dans le rétroviseur et de me demander si j’avais pris la bonne décision à ce moment donné.

La réponse que je me dis est qu’au moment où j’ai pris la décision, avec mon envie, mon attitude et mon degré de connaissances j’aurais pris cette décision et pas une autre. Ce qui me fait dire qu’au moment donné j’ai toujours pris la bonne décision pour moi et cela m’empêche de vivre dans le regret.

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« Il y a plus de courage que de talent dans la plupart des réussites » – Félix Leclerc

« L’échec fait tomber le perdant, l’échec inspire le gagnant » – Robert T. Kiyosaki

Mes 3 plus grands échecs

Échec n°1:

N’avoir pas suivi un cursus en alternance.

Bien avant mon entrée à l’EM Strasbourg, j’avais pour ambition de travailler dans les ressources humaines, car je souhaitais travailler, à terme, dans une branche particulière des RH qui est le bien-être au travail.

Hors pour toutes les formations que je visais et qui était en lien avec les RH, je devais trouver une alternance, chose que je n’ai jamais réussi à faire.

Ce fut un échec dans le sens où je ne suis pas arrivé au bout de la chose, de ce que je souhaitais faire à l’époque, car à l’époque c’était ce que je souhaitais faire et je me suis enfoncé dans des pensées négatives.

Maintenant je me dis que si j’avais réussi à faire ce que je souhaitais à l’époque, je n’aurai sans doute pas vécu les expériences que j’ai vécues jusqu’à aujourd’hui, donc je ne me dis pas à moi-même que j’ai loupé quelque chose, j’ai simplement crée de nouvelles opportunités.

Échec n°2:

Durant mes 3 ans à l’EM je me suis intéressé au concept de l’entreprise libérée (horizontalité dans la hiérarchie) et j’ai entrepris des démarches dans le but d’en rencontrer certaines.

Lors de la visite de l’une d’entre elles, j’ai découvert via du chargé de projet, qu’elle souhaitait implanter ce concept en impliquant les personnes travaillant dans l’usine et dans le bureau, pour que chacun puisse avoir un degré de responsabilité équivalent dans les décisions, que chacun soit partie prenante.

Le besoin étant explicite, j’avais décidé avec un camarade de promotion de proposer une offre de coaching, car via notre formation nous avions acquis les compétences nécessaires pour proposer un programme de coaching.

Nous avons ainsi travaillés durant 4 mois en collaboration avec cette entreprise, pour établir les besoins et proposer une offre en fonction de ces besoins, pour finalement apprendre que ce n’était plus la priorité de l’entreprise et sans vraiment comprendre pourquoi l’entreprise a prise cette décision.

Cela fut un échec pour moi dans le sens, où j’avais passé 4 mois à travailler d’arache-pied pour rien. Mais d’un autre côté, je m’étais également dis que ce n’étais pas de ma faute si l’entreprise avait décidé d’enlever cette priorité et que de mon côté j’avais donné mon maximum et que je n’avais pas de regrets à avoir.

Échec n°3:

Il y a quelques années j’étais très amoureux d’une fille et ne sachant pas comment lui dire ce que je ressentais pour elle, j’avais écris une lettre d’amour.

Pour moi j’avais considéré qu’écrire quelque chose de tel était un acte fort. Étant perdu émotionnellement j’avais décidé de partagé mes états d’âme ainsi que cette lettre à des camarades pour qu’ils puissent me conseiller sur la manière de faire. Avec le recul j’estime que c’était une erreur, car j’aurais dû le faire comme je le sentais.

Je souhaitais lui donner cette lettre en fin d’année scolaire, mais l’influence des mes camarades sur mon cerveau, m’a fait donner cette lettre en début d’année scolaire.

Bien sûr, ça ne sait pas passé comme prévu et au final il ne s’est rien passé, pire même, je crois qu’à la fin elle m’a détesté.

Tout ça pour dire que c’était un échec, car au lieu de respecter sa décision, je ne l’ai pas fait je lui ai manqué de respect et je me suis mal comporté, chose que je ne referais plus dans le futur.

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